Mais, la saison d’Alain Bernard va être mise à mal par la période du service militaire.Alors qu’il devait se retrouver à Nansouty, il est convoqué le 1Le temps de retrouver un semblant de condition physique, il gagne à Antignac (15) au début du mois d’août, après avoir pris la 5A 21 ans, passé le souci du service militaire qui a « gâché » la saison précédente, Alain Bernard réalise une saison « pleine » : 66 courses, 6 victoires et 35 fois dans les « dix ». Ainsi que le déclare Gérard Moneyron (alors trésorier de l’UNCP et qui a trouvé refuge chez « Flandria ») : « on ne pouvait être à la fois coureur cycliste professionnel et représentant de commerce ». Schuiten, abandon)Par ailleurs, Alain abandonne dans le Critérium National, le Championnat de France et l’Amstel Gold Race. He finished his career with 7 medals and 4 gold medals at the European Championships. Tour du sud-ouest 1969, 1970 (1 étape), 1971 (1 étape et 1 . Cette avant-dernière saison se solde par 2 victoires (avec JL Confolens, il a encore gagné le cyclo-cross à l'américaine de Jugazan) et 15 places dans les dix premiers entre juin et octobre.En 1982, il gagne au Lardin-St. Lazare (24) en août et il se classe 28 fois dans les "10" entre mars et septembre. Bientôt, à la fin des années 80, le nombre de « chômeurs » n’aura jamais été aussi élevé. A l’approche de la saison 1974, Alain Bernard s’apprête à repartir, toujours sous les couleurs de l’US Bouscat et des cycles Peugeot, mais au sein d’un groupe sportif amateur « VIFRANCE », basé en Bretagne et dirigé par Georges Le Bourhis. Trop facile ! au palmarès et cette tentative de comparaison impossible (quel est le meilleur coureur du XXL’opinion de Daniel Barjolin entendue, faut-il pour autant mépriser le statut de « pro » ?Par exemple, quand j’aligne les noms de Maurice Bertrand, Jacques Bianco, Michel Brux, Daniel Walryck, Jacques Sabathier ou Bernard Dupuch, tous excellents « indés », passés « pros » puis redevenus « indés » et, très conscient du constat de R. Marillier (Cyclisme n°17, janvier 1970) selon qui des « coureurs détenteurs d’une licence « amateur » vivent du vélo en grande partie », comment ne pas comprendre que « passer « pro » est le but légitime poursuivi par tout coureur « réussissant » chez les « amateurs » … ?Mais, qu’est-ce qu’un « pro » qui ne fait jamais le « Tour » ? Suarez-Cueva) et il termine 70- En juin, le Midi Libre (1. At the 2012 Olympics, he helped France win the 4x100 free relay gold medal that had eluded them in Beijing. Bernard formerly held the world record for the 50 metres At the French national championships, Bernard qualified for the Olympic Games in Beijing in the 50 m freestyle (with a time of 21.69 s) and 100 m freestyle (47.82 s). Un article de R. Pajot (« Le creux de la vague », France Vélo n°137, 1979) monte l’évolution du nombre de coureurs professionnels en France. Bourreau). chez « Clas » en 1988). me direz-vous. Alain Bernard se retrouve en compagnie de : Aubey – Boishardy – Bouloux – Cluzaud – Ducasse – Ducreux – Dupontreue – Fin – Grelin – Rieu – Tosi – Van Lanker. C’est Georges Le Bourhis lui-même – fort de son expérience d’ancien coureur professionnel – qui le libère de son engagement et lui conseille de « franchir le rubicon ».En février 1976, le « Miroir du cyclisme » (n°212, « Un mariage de raison ») consacre un article à l’existence précaire des nouveaux groupes sportifs dans ce qui ressemble à « la loi de la jungle »… Au terme de l’introduction de cet article de Roger Frankeur, on peut lire ceci : « A vrai dire, si la « petite reine » est décidément beaucoup plus solide que les Cassandre le prédisent, le cyclisme professionnel pour sa part se nourrit par le moyen de ballons d’oxygène renouvelables chaque année… » Cet article, qui raconte la naissance des groupes extra-sportifs et parle de cette nouvelle mâne pour le sport cycliste et ses « professionnels », est accompagné d’une photo qui annonce la naissance de cette nouvelle équipe à laquelle désormais Alain Bernard appartient.