Ces maladies ont eu un effet disproportionné sur la population autochtone, qui n'avait pas développé les anticorps pour résister à ces maladies.VÃ¥gene et Herbig indiquent que leur hypothèse de travail est qu'il en avait été de même pour les Espagnols ayant débarqué au Mexique.Il est aussi possible, explique VÃ¥gene, que le pathogène ait déjà été présent au Mexique, mais on ne peut le prouver.Pour confirmer l'hypothèse selon laquelle la salmonelle aurait contribué à la disparition du peuple aztèque au Mexique, les scientifiques auraient besoin de tester plus de segments ADN sur différents sites funéraires.« Mon intuition me dit que plusieurs agents pathogènes sont responsables de cette épidémie », estime VÃ¥gene abonde en ce sens et explique qu'il faudra attendre l'identification de nouveaux sites Représentation de Tezcatlipoca, le dieu aztèque parfois représenté sous forme de dinde, sur une pierre découverte à Mexico-Tenochtitlan, ancienne capitale de l'empire aztèque.Une fosse commune sur le site de Teposcolula-Yucundaa Grand Plaza, avant excavation.Les fouilles archéologique menées au Grand Plaza ont permis la mise au jour de grands cimetières associés à l'épidémie de cocoliztli qui a frappé le sud du Mexique de 1545 à 1550.Exclusif : mise au jour de la grotte d'un ancien dieu maya4 000 ans plus tard, la lignée de ce chef amérindien est ressuscitéeToute la magie et lâémotion de lâarchéologie en 13 photosCHRISTINA WARINNER, PROJET ARCHÃOLOGIQUE DE TEPOSCOLULA-YUCUNDAACHRISTINA WARINNER, PROJET ARCHÃOLOGIQUE DE TEPOSCOLULA-YUCUNDAA Cela dit, personne n’avait jusqu'ici découvert des preuves concrètes de l'importance de chacun de ces facteurs pour confirmer l'une des théories.Aujourd’hui, une étude dirigée par des chercheurs du Max Planck Institute for the Science of Human History apporte de nouveaux éléments d’enquête. Pour le moment, les résultats ont simplement été mis en ligne sur le serveur de bioRxiv afin que d’autres chercheurs puissent faire leur propre analyses et comparer les résultats.Par ailleurs, certains experts ont d'ores et déjà émis des doutes sur la méthode utilisée au cours de ces recherches, suggérant qu'elle ne permet pas de récupérer l’ADN de tous les virus qui auraient pu être impliqués dans les épidémies.
POLLUTION La pollution le principal causante de la disparition. De plus, en 1545 et en 1576, les infections ont moins touché les plaines côtières plus chaudes du golfe du Mexique et de la côte Pacifique. Elle présente les premiers indices basés sur des analyses ADN de la disparition des Aztèques. C’est pourtant ce qui est arrivée à la population native du Mexique au XVIe siècle. Cependant, nous ré-affirmons que la salmonellose ne peut expliquer les signes et symptômes qui furent enregistrés par les témoins directs de l’époque, comme par exemple, le saignement abondant par le nez, les yeux, la bouche, l’anus, le vagin, et la peau. Les séquences sont ensuite comparées aux séquences présentes dans les banques de données génétiques humaines et de microorganismes.
"Mais quelle était réellement l'origine de cette épidémie ? diverses raisons qui y contribuent, entre autres: 1. C'est ce qu'affirme Michael E. Smith de l’Université d’Arizona (Etats-Unis), l’un des meilleurs spécialistes des Aztèques contacté par Reçois le meilleur de Gentside chaque jour au chaud dans ta boîte mail.Le mystère de la bouilloire qui siffle enfin résoluLe mystère de la mort de Toutankhamon enfin résolu ?Le mystère du bourdonnement de la Terre enfin résoluLe mystère de l'exceptionnel tombeau d’Amphipolis enfin résolu ?Le mystère de la formation des stalactites ondulées enfin dévoilé